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Les quatre zones de confort qui nous empêchent parfois de sortir de nos insatisfactions

/ Par info psy.be / Etre soi

Les quatre zones de confort qui nous empêchent parfois de sortir de nos insatisfactions

La société nouvelle attend de chacun qu’il prenne sa place en toute responsabilité.
Plaçons nos relations et nos actions sous le sceau de la responsabilité.

Dévenir responsable c’est sortir des zones de confort (ou d’habitude) dans lesquelles nous ne progressons pas nécessairement dans le sens de qui nous sommes. C’est là que nous pouvons réinventer notre quotidien professionnel ou privé.

Quatre zones de confort dans lesquelles nous nous perdons le plus souvent.

Zone de confort 1. Se complaire avec mollesse ses insatisfactions. Ne sommes-nous pas parfois les champions pour se contenter de ce qui ne nous satisfait pas car “c’est mieux que rien”, “on sait ce que l’on a mais on ne sait pas ce que l’on pourrait avoir”, “bah, ça va passer”, … Pour en sortir et passer de là où on est à là où on veut aller, il est nécessaire d’en prendre conscience, d’identifier ses contraintes et ses liberté et d’oser formuler les vrais points de mire attractifs.


Zone de confort 2. Rester dans des noeuds personnels ou relationnels qui nous empêchent d’avancer et construire autonomie, engagement et responsabilité. Tous les projets quels qu’ils soient sont des lieux de développement de soi et de compétences, à condition d’avoir dépassé le besoin de reconnaissance, le doute qui pollue notre engagement, les émotions qui nous emberlificotent.


Zone de confort 3. Poser des actes qui ne vont pas dans le sens de la réussite. Nous avons tous une relation particulière avec l’action. Agir ne suffit plus. Agir pour avancer est bien souvent tout un chemin. Un chemin qui conduit à la difficulté d’accepter un échec ou… une réussite.

Zone de confort 4. Ne pas prendre le temps de capitaliser sur son estime de soi. L’estime de soi est un potentiel que nous sommes seuls à pouvoir développer et peut de personnes autour de nous sont capables de le forger pour nous. Il nous renvient à nous-même de capitaliser sur notre estime en prenant la mesure de ce que nous avons réaliser. Et finalement, pourquoi ne pas oser la pleine réussite ? Celle qui parle du droit à la réussite et d’un rapport sain avec l’argent, le temps, les autres, et le plaisir. Toute fin de projet est un début pas une fin. 

Les moyens pour sortir de ces quatre zones de confort sont en chacun de nous :

  • De nouvelles pistes d’évolution,
  • Une direction claire,
  • Une confiance personnelle,
  • Un engagement à 100% dans le résultat,
  • Une responsabilité personnelle par la gestion des émotions,
  • Une ligne du temps,
  • Des actions adéquates et justes,
  • La capitalisation sur l’estime de soi.

Nous ne recevrons jamais de personne, de façon durable, ce que nous ne nous donnons pas à nous-même.

Brigitte André

 

 

 

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